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- Comptabilité et droit sont des carrières qui attirent les jeunes diplômés
- Les compétences requises diffèrent entre comptables et avocats
- La rémunération de départ peut être élevée pour les deux professions, mais peut varier en fonction du type de pratique choisi
- S'orienter vers l'un ou l'autre des domaines dépendra également du goût pour les chiffres ou le droit ainsi que du désir de travailler avec différentes cultures d'entreprise ou au niveau international
La comptabilité et le droit sont des carrières qui attirent les étudiants brillants des collèges grâce à leur fort potentiel de revenu, leur mobilité ascendante et leur multitude de cheminements de carrière dans ces domaines beaucoup plus vastes. Les comptables peuvent travailler pour de grands cabinets d’experts-comptables, offrir des services de vérification interne pour de petites entreprises privées ou préparer des déclarations de revenus pour les particuliers et les entreprises. Il existe également une foule d’emplois supplémentaires pour les comptables formés.
De même, les diplômés des facultés de droit ont de nombreuses possibilités de carrière. Bien que le droit des sociétés soit populaire en raison de son potentiel de revenus, de nombreux jeunes avocats préfèrent se lancer dans des domaines tels que la défense pénale, le droit des lésions corporelles et le droit international.
Fréquemment, les étudiants brillants des collèges sont attirés à la fois par la comptabilité et le droit, et ils ont de la difficulté à choisir entre les deux. Les deux carrières offrent beaucoup de récompenses potentielles. Si vous faites face à ce choix, l’analyse qui suit présente les différences entre la comptabilité et le droit, et met en lumière les types de jeunes professionnels les mieux adaptés à chaque carrière.
Quelles sont les compétences requises ?
Que vous envisagiez de devenir comptable ou avocat, vous devez avoir une éthique de travail irréprochable et de solides compétences en résolution de problèmes. Outre ces caractéristiques, le profil de compétences d’un comptable qui réussit diffère souvent de celui d’un avocat qui réussit.
Les comptables doivent aimer les chiffres et être capables de travailler avec eux. Ceux qui détestent les mathématiques ou qui se débattent avec elles devraient chercher ailleurs une carrière. La carrière est souvent stigmatisée comme ennuyeuse et un refuge pour les personnes socialement inadaptées qui détestent travailler avec les gens, mais cela ne saurait être plus éloigné de la vérité. De nombreux domaines de la comptabilité exigent de solides compétences en diplomatie. Les experts-comptables, par exemple, passent la majorité de leur semaine de travail dans divers bureaux de clients tiers. Ces professionnels doivent être capables de s’intégrer dans les diverses cultures d’entreprise.
Les avocats ont besoin d’un large éventail de compétences qui peuvent varier en fonction du domaine du droit. Le droit des sociétés, qui exige de longues heures de travail et des tâches exigeantes, exige une éthique de travail infatigable. Les avocats de première instance doivent être éloquents et persuasifs, et ils doivent réfléchir sur leurs pieds. Pour pratiquer le droit international, vous devez avoir une connaissance approfondie des différentes cultures et de préférence parler plusieurs langues.
Le salaire de départ
L’échelle salariale est large, tant pour les comptables débutants que pour les avocats. En moyenne, les avocats gagnent beaucoup plus d’argent que les comptables à la fin de leurs études. À compter de 2017, la fourchette de départ pour les quatre grands associés comptables se situe entre 45 000 € et 68 000 €. Par ailleurs, le salaire médian d’un avocat associé de première année était de 135 000 €, selon l’enquête sur le salaire des avocats associés de l’Association National des Avocats et Juristes. Les huissiers touchent, en moyenne, le même salaire que les avocats. Cela s’explique par les tarifs qu’appliquent les huissiers.
De nombreux jeunes comptables et avocats ouvrent leur propre cheminement de carrière et ne se limitent donc pas aux échelles salariales des grands cabinets.
Une personne qui démarre sa propre pratique dans l’un ou l’autre domaine peut gagner six chiffres la première année si elle commercialise bien et développe une solide réputation dans sa région. Inversement, de nombreux comptables et avocats qui se lancent dans la pratique privée ont d’abord du mal à se constituer une clientèle.
Pourquoi avoir une assistance juridique dans son entreprise ?
Lorsque vous êtes à la tête d’une entreprise, il est vrai que vous devez faire face à tous les imprévus. Ainsi, si l’un de vos clients n’est pas du tout satisfait de votre travail, il peut très bien se retourner contre vous en vous mettant en demeure par exemple. Dans tous les cas, il peut demander une indemnisation du préjudice si vous avez commis une erreur ou si vous êtes en retard dans la date de livraison d’un site ou encore d’un chantier. Si vous n’avez pas d’assistance juridique au sein de votre entreprise, il est vrai que le règlement des conflits peut devenir un véritable casse-tête et vous prendre du temps.
Si votre entreprise est une PME ou TPE, il est clair que vous n’aurez pas forcément de service interne d’assistance juridique. Par contre, il est préférable de faire des recherches sur Internet pour trouver un juriste proche de Strasbourg. De cette manière, vous pourrez faire face aux conflits, mais aussi, ce service externe peut vous aider dans la gestion de vos salariés. Dans le cas d’un grand groupe, l’assistance juridique peut s’emparer des sujets parfois épineux comme l’égalité professionnelle ou encore gérer des problèmes de restructuration.